En pratique, il n’y a pas 50 raisons d’espionner. La plupart ne sont pas vraiment valables : surveiller son conjoint, son enfant, sa nounou ou son collègue de travail. Mais il y a aussi ceux qui enregistrent les autres pour se défendre, comme Catherine, victime de harcèlement sexuel au travail :
Lors d’un déjeuner, elle s’était éclipsée aux toilettes et avait laissé allumer la fonction magnétophone de son téléphone. Pendant ce temps, son patron a parler d’elle en des termes peux élogieux. Plus tard, elle a donné l’enregistrement à la police qui en a fait un procès-verbal.
Ce type d’enregistrements peut être recevable dans un procès pénal. On peut se retrouver attaqué en retour pour atteinte à la vie privée (jusqu’à un an de prison et 45 000 euros d’amende), mais les condamnations sont rares.
Sur le web ou en boutique existent un nombre considérables de sites où des sociétés proposent sur catalogues des outils à disposition : l’application magnéto ou dictaphone de votre smartphone, le logiciel qui pirate le téléphone de qui vous voulez (à condition de l’avoir eu en mains 5 minutes) ou celui qui géo localise votre enfant.
On peut même aller plus loin, avec des caméras planquées dans un bouton de chemise, une cravate ou des lunettes. Prix accessibles (à partir de 50 euros) et bonne qualité technique: on en vend de plus en plus.
Nous recevons chaque semaine des appels de particuliers ou des chefs d’entreprises qui s’imaginent écoutés. Leur téléphone ou leur ordinateur est peut-être piraté, mais dans 80% des cas, il n’y a rien sinon aucun micro chez eux.
Procéder à un balayage de contre-mesures coûte de l’argent et il vaut mieux bien réfléchir avant d’engager des frais ou alors on peut faire confiance à son prochain. C’est plus facile si on n’a rien à se reprocher…

Nos Solutions
Pour vérifier si une personne est espionnée chez elle, à son travail notamment dans son bureau, il faut procéder à ce que l’on appelle un balayage de contremesure :
Aujourd’hui, les détecteurs ultra-sensibles de micro espions sont désormais incontournables quand il s’agit de repérer des émetteurs espions (dépoussiérage de locaux).
Nous avons fait l’acquisition d’appareils ultramoderne de classe professionnelle, de haute technologie et extrêmement sensibles : des TAS – Turner Advanced Sensitive – de dernière génération ayant intégrés dans ses détecteurs ultra-sensibles de micros et caméras espions, permet l’amélioration des détections de ces appareils de plus en plus miniaturisés. Ces détecteurs n’ont aucune comparaison avec les innombrables détecteurs-jouets disponibles sur le marché.
Cette technologie Multi-Channel-Fuzzy-Scanning rend possible la détection des systèmes espions suivants :
microphones clandestins ou mini-espions
micros portables, notamment avec caméra intégrée (de plus en plus utilisés)
caméras miniature (matériel espion à croissance exponentielle)
Les risques d’espionnage par systèmes émetteurs étant toujours plus sensibles, nos détecteurs ultra-sensibles sont opérationnels dans une étendue des fréquences de 50 MHz à 3 GHz. Les délinquants high-tech savent parfaitement que de nombreux détecteurs commercialisés sont inefficaces au-dessus de 1 GHz ; il leur est donc aisé de faire croire, même aux détenteurs de ces détecteurs d’ancienne génération, qu’aucun espion n’est présent ; ces professionnels de l’espionnage recourant volontiers à des émetteurs fonctionnant sur la fréquence d’ondes 3 GHz.
Nous ne pouvons donc que conseiller vivement aux hommes d’affaires et aux sociétés de faire appel à ses services ou de s’équiper avec l’état le plus récent de la technique, et de s’assurer d’une portée efficace jusqu’à 3 GHz,…pour :
repérer le positionnement idéal des émetteurs vidéo ou des systèmes de réseau sans fil dans toute propriété.
détection de systèmes émetteurs espions dans les toilettes publiques, les locaux de sécurité, les vestiaires des clubs et des hôtels et toute propriété privée.
bureaux, ateliers, cinémas, théâtres, salles de spectacles, musées et salles de conférences, pour une protection efficace contre les émetteurs radios et vidéo introduits, sans fouille corporelle (contrôles discret à l’entrée possibles).
établissements hospitaliers, cabinets médicaux et services de soins intensifs, pour une protection contre des émetteurs d’ondes perturbatrices.
Police, armée et ministères, pour une protection efficace contre l’espionnage.
salles informatiques, restaurants et autres locaux commerciaux, où l’usage de téléphones portables est perturbateur, sinon proscrit.